[« La loi garantit à tous le droit à des soins de santé rationnels, appropriés et adéquats », art. 23 de la nouvelle Constitution participative islandaise] « Nous souhaitons être soignés par les vaccins et non démolis »

Villeneuve-sur-Lot : une vie de famille brisée par un vaccin contre le tétanos

Pierre Bonizzoni souffre de troubles neuromusculaires depuis un vaccin de rappel du tétanos en 1995. Son épouse raconte.

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Colette Bonizzoni se bat pour que la dangerosité des sels d’aluminium dans les vaccins soit reconnue.

C’était une piqûre censée éviter la maladie, mais pour Pierre Bonizzoni, en 1995, le vaccin contre le tétanos va changer sa vie à jamais à cause de l’aluminium qu’il contient.

« C’est après le rappel qu’il a fait en 1995, raconte sa femme, Colette, qu’il a commencé à avoir de très fortes douleurs dans le bras gauche où il avait été vacciné ainsi que dans les cuisses, le tout accompagné de grosses fatigues. » Dynamique et sportif, Pierre Bonizzoni se fait dire par les médecins de Villeneuve-sur-Lot qu’il en fait trop et que c’est dans sa tête, avant qu’une dégénérescence neuromusculaire soit évoquée.

L’aluminium dans le cerveau

En 1998, il se rend au Tripode de Bordeaux où une biopsie de son bras gauche révèle la présence de cristaux d’aluminium à l’endroit de la vaccination. Le diagnostic tombe : myofasciite à macrophage, une maladie neuromusculaire induite par les sels d’aluminium présents comme adjuvants vaccinaux et qui remontent dans le cerveau.

Après plusieurs hospitalisations, il est mis sous cortisone, seul produit capable de calmer les douleurs. « Mais les effets secondaires étaient très présents, raconte sa femme. Il avait le visage rouge et enflé et au bout de trois mois de traitement, il a dû arrêter car ses articulations des doigts se disloquaient. » Réclamant un second avis, les époux Bonizzoni se rendent à la Pitié-Salpêtrière, à Paris, en 1999. « Le médecin que nous avons vu à confirmé la maladie mais déconseillé la cortisone : « « Il faut apprendre à vivre avec », nous a t-il dit. » C’est ce que le couple essaye de faire depuis plus de dix ans. « C’est une maladie qui touche beaucoup de gens dynamiques et sportifs comme Pierre, ce qui est encore plus dur à vivre. Aujourd’hui, c’est une vie foutue en l’air. »

Aujourd’hui, ce qui met hors d’elle Colette Bonizzoni, c’est la non-reconnaissance de la dangerosité des vaccins à adjuvant aux sels d’aluminium qui sont encore prescrits. « On n’est pas contre les vaccins mais la recherche doit avancer sur ce sujet pour protéger les gens. » Tous les deux ont rejoint depuis plusieurs années l’association E3M, d’entraide autour des malades, qui a organisé, en décembre, une grève de la faim collective à Paris pour alerter sur les dangers des vaccins.

Un danger pour les enfants

« Comme il semblerait qu’il y ait une prédisposition génétique à contracter cette maladie, c’est un véritable casse-tête pour la vaccination de nos enfants et de nos petits-enfants. C’est une roulette russe, un risque que nous ne pouvons pas prendre tant que des vaccins sans aluminium ne sont pas proposés. » Dans son combat quotidien aux côtés de son époux malade, Colette Bonizzoni répond aux courriers qui l’enjoignent à se faire vacciner contre la grippe, a écrit à la ministre de la Santé et même au président de la République, sans obtenir la réponse qu’elle attend depuis tant d’années.

« C’est un combat de tous les jours : nous souhaitons être soignés par les vaccins et non démolis. C’est important de faire entendre notre voix grâce à l’association, que les gens connaissent le risque encouru. »

Presse validiste (Léa Aubrit, SudOuest.fr, 3 janvier 2013)

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Une réponse à [« La loi garantit à tous le droit à des soins de santé rationnels, appropriés et adéquats », art. 23 de la nouvelle Constitution participative islandaise] « Nous souhaitons être soignés par les vaccins et non démolis »

  1. **** dit :

    « Le 20 décembre 2012, une tragédie vaccinale a frappé le petit village de Gouro, localisé au nord du Tchad, en Afrique. Selon le journal La Voix, au moins 40 enfants sur les 500 qui ont reçu le nouveau vaccin contre la méningite, MenAfriVac, et âgés de 7 à 18 ans, ont été paralysés. Ces enfants ont aussi souffert de convulsions et d’hallucinations.
    Depuis que ces cas ont été rapportés, l’ampleur réelle de cette tragédie est en train d’être mise à nu, et les parents d’autres enfants vaccinés ont déjà rapporté d’autres effets secondaires supplémentaires. Les autorités de la région sont mises sous pression, depuis qu’un véhicule sanitaire a été incendié par des citoyens, en guise de manifestation de leur frustration et de leur colère face à la négligence du gouvernement. » (suite ici)

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