À Siliana, ville de l’ouest tunisien, il y a quelques semaines la police a tiré sur des manifestants pacifistes, causant de graves blessures et la cécité à plusieurs jeunes qui ne sont toujours pas pris en charge par l’État. D’autres sont toujours aux arrêts et ce, depuis avril 2011, et subissant les pires exactions et tortures de la part de la police politique. Leurs mères, sœurs, fiancées et épouses font la grève de la faim depuis plusieurs jours dans l’indifférence TOTALE.
Publié sur le blog de « Méditerranéenne », 1er janvier 2013