Un peu plus de liberté pour les militants d’Action Directe

Quelques précisions sur la situation actuelle vu le tout et n’importe quoi entendu et lu dans les médias :

Jean-Marc Rouillan arrivé hier [18 mai] à Marseille, est à partir d’aujourd’hui en semi-liberté pour un an (il avait déjà effectué 10 mois de cette peine avant sa réincarcération, mais la cour d’appel a refusé d’en tenir compte). Il travaillera la journée aux Éditions Agone et le soir et les week-ends, il sera obligé de rester dans sa chambre avec la surveillance du bracelet électronique (et non pas en cellule aux Baumettes comme la première fois). Il n’aura pas le droit de s’exprimer sur ses livres ou politiquement. Il pourra publier ses livres mais sans publicité. 40% de son smig est récupéré par l’État…

Georges Cipriani est passé le 3 mai de la semi-liberté à la liberté conditionnelle et cela pour 5 ans. Plus de prison mais interdiction de quitter le département…

Régis Schleicher bénéficie de ce régime deuis l’an dernier, Nathalie Ménigon depuis 3 ans donc dans 2 ans elle pourra enfin se déplacer librement.

19 mai 2011.

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