Droit de réponse
Suite aux articles publiés le 23 mars dans Midi Libre, et le 26 mars dans Direct Montpellier, nous demandons un droit de réponse.
Envoyé à Midi-Libre, Direct Montpellier et La Gazette. Qui le publiera ?
Tout d’abord le KaLaJ s’excuse pour les gènes occasionnelles liées a certains évènements et en profite pour clarifier certains points.
C’est un lieu d’habitation où résident quatre à six personnes en permanence, et qui peut héberger de manière temporaire un maximum de 4 personnes supplémentaires.
C’est également un lieu culturel et artistique en dehors des institutions.
Dans cette optique, des travaux de mise aux normes et de rénovations ont été effectués. D’autres seront fait au besoin.
Depuis l’ouverture, nos tentatives de dialogue avec le voisinage sont restées majoritairement sans réponses, mais restent d’actualité. Contrairement à ce qui a été dit, nous entretenons de très bonnes relations avec certains riverains lesquelles s’expriment par de menus services, redistribution de nourriture ou simplement une conversation autour d’un café… D’autres trouvent même “notre présence rassurante” de par les liens tissés avec toutes les populations de ce quartier hétéroclite.
Depuis un peu moins d’un an, il y a eu des évolutions dans la gestion du lieu, concernant notamment les nuisances sonores qui nous ont été de nombreuses fois reprochées. Le lieu est par exemple fermé à tout public en soirée et des règles de vies internes ont été instaurées dans la même démarche de respect des riverains.
Les différentes activités artistiques et ateliers, libres et ouverts à tous participent à la vie du quartier en rendant accessible échanges et savoirs.
Ces ateliers peuvent être sculpture et musique assistée par ordinateur, projections et expositions, débats et réunions, résidences d’artistes (…) dont la fréquentation et l’enthousiasme partagé démontre la nécessité d’un tel lieu.
Pourquoi céder au mélodrame lorsqu’il n’a pas lieu d’être ? Pourquoi monter une pétition au lieu d’une réelle rencontre et concertation ? Pourquoi devoir en passer par la presse alors que nous sommes voisins ? Nous sommes des gens comme vous, étudiants, chômeurs ou salariés mais désirons vivre de manières différentes prônant l’entre-aide et l’échange en dehors de cette illusion qui est notre société. De nombreux lieux alternatifs de ce type existent en France et dans le monde. Certains sont devenus des institutions et très intégrés aux quartiers et villes. Pourquoi pas ici ?
Le KaLaJ et ses habitants vous invitent à venir, à les rencontrer, à participer et à vous faire votre propre opinion en découvrant le lieu.
Le programme papier est disponible dans la ville, ou en ligne sur montpellier.squat.net.
Le KaLaJ, ses habitants, 27 mars 2013
Montpellier : ce squat artistique qui sème la zizanie dans le quartier de Figuerolles
Depuis novembre 2011, un squat artistique annoncé comme autogéré et militant, installé dans une maison de la rue Desmazes du quartier Figuerolles à Montpellier enchaîne projections, concerts et ateliers. Au grand dam des riverains.
Deux camps presque irréconcialiables. Des riverains habitant, pour certains, depuis quatre décennies une rue typique du quartier Figuerolles de Montpellier, font face depuis plus d’un an à des jeunes squatteurs qui ont investi une maison vide. Le lieu, rebaptisé « Kalaj », est immanquable dans la rue Desmazes. Les couleurs flashy de la facade ne seraient qu’un moindre mal.
« Piratage » sur le réseau d’eau
Les riverains dénoncent, outre le bruit lié à des événements culturels régulièrement organisés (séances de cinéma, ateliers artistiques, concerts…), des branchements sauvages sur les canalisations d’eau. « Nous avons porté plainte l’été dernier pour nuisances sonores », explique un représentant des riverains. « Mais le procureur de la République a classé l’affaire sans suite. »
Le nœud du problème : une succession non résolue
Le riverain dit quand même des squatteurs « qu’ils n’ont pas mauvais fond » et voit bien que le nœud de l’affaire relève, avant tout, d’un problème de succession non résolue. « On prévient les voisins avant chaque gros évènements », se défend l’un des responsables du squat. La Ville semble ne pas pouvoir agir concrètement, à part régulièrement faire intervenir les services de nettoiement pour enlever les tags de la facade. Propriété privée oblige.
Publié par des larbins de la maison Poulaga (Frédéric Mayet, MidiLibre.fr, 22 mars 2013)
La seule réponse appropriée aux médias c’est l’insulte et la caillasse.
Allez vous faire institutionnaliser ! Lèches-boules !
nik sa mère les squats d’artistes qui niquent les autres squat de montpeul…