Rennes. Une librairie religieuse régulièrement vandalisée : la colère de la gérante
La librairie Saint-Germain, spécialisé dans les ouvrages religieux et les icônes, et située 6, rue Nationale, à deux pas du Parlement, à Rennes, est victime de dégradations régulières. La gérante est exaspérée.
Angoisse tous les jours
« Tous les jours, dès que j’arrive dans la rue, je me demande ce que je vais encore trouver sur ma vitrine. » Hélène Le Mestre, la gérante de la librairie Saint-Germain, spécialisé dans les ouvrages religieux et les icônes, et située 6, rue Nationale, à deux pas du Parlement, à Rennes, est en colère. « Ma vitrine a encore été cassée dans la nuit de vendredi à samedi. Cela s’était déjà produit en août. »
Tags, injures, crachats…
À chaque fois, les vandales ne volent rien. « C’est pour casser », déplore Hélène Le Mestre. La gérante de la libraire Saint-Germain explique que sa vitrine est victime de dégradations régulières : tags, inscriptions, injures, crachats… « À un moment donné, quelqu’un venait uriner sur la serrure toutes les nuits. Et il y a deux mois, des personnes se sont amusées à vider un extincteur sur les carreaux. On a passé deux heures à nettoyer. »
Des dégradations en rapport avec le caractère religieux de son commerce ? « Je ne sais pas », avoue la gérante.
Hélène Le Mestre ne comprend pas que la rue ne soit pas surveillée par des caméras. « Je suis convaincue qu’avec de la vidéosurveillance, ces actes de vandalisme prendraient fin. »
Publié par des larbins de la maison Poulaga (Ouest-France.fr, 18 février 2013)
Je pensais être sur le Jura libertaire et non pas sur le Jura stalinien ou encore le Jura fasciste. Chacun devrait pouvoir croire et exprimer sa foi librement tant qu’aucune contrainte n’est exercée sur autrui.
Pourquoi faire la promotion de cet acte débile ? Ceux qui en sont coupables sont probablement les mêmes qui mettront les croyants et toute autre personne n’étant pas certifiée conforme à l’idéologie dans des putains de camps le jour de leur révolution.
Des dégradations en rapport avec le caractère religieux de son commerce ? « Je ne sais pas », avoue la gérante.
Ou » du caractère commercial de sa religion ? »
NOM DE DIEU.