Lettre ouverte à Isabelle Alonso et aux Chiennes de garde
À force (!) d’aboyer, vous êtes aphones : on ne vous entend plus.
À moins de ne fréquenter que des cafés littéraires à la mode, des plateaux télé branchés, qui pourrait valider vos efforts pathétiques pour exister ?
Acheter, ou même, voler, un de vos livres relève de l’insanité pure, quand, ici et maintenant, des arbres sont massacrés à seule fin de vous plaire : vous, celleux qui ont soif de notoriété et de gloire factice, voire virtuelle.
Ainsi, dans l’éventail de vos vains efforts pour « l’égalité » entre les deux genres : féminin, masculin, dans votre dernière élucubration publiée, vous portez ce débat néo-féministe à forte connotation sectaire dans l’écrit et sa grammaire.
Ayant pour compagnon/es des chien/es que nous respectons, nous voulons vous signaler, d’abord, que vos copines Chiennes-de-garde de combats d’arrière-garde ont pour nous les mêmes relents nauséabonds que l’interjection qui organisa une riposte de la droite sarkosiste : « Pétain a laissé ses chiens ».
Quel besoin des animaux pour exprimer des ressentis humains ?
Nous voulons ici vous donner la libre conscience de votre ridicule :
Les anarchistes et libertaires des pays où sont pratiquées des grammaires « sexistes » (le masculin qui remporte…) publient depuis des années des textes réfléchis autant pour leur contenant que leur contenu : ille/s, celleux … les exemples ne manquent pas, mais nous savons, à votre crédit, que vous n’y avez/aurez pas accès.
Car, pour nous, ce que vous représentez, ainsi que : où vous vous présentez, ce n’est pas notre monde, ni aujourd’hui, ni, surtout, demain.
Ceci n’est qu’un avertissement : car pendant que vous pétez dans la soie ou le coton, nous chions au milieu du salon. Ce que nous voulons ? L’insurrection, dans les pensées, et dans les actes.
Cyniques anarchistes