
Une simple tête de mannequin permet aux rebelles de tester le terrain, comme ici dans le quartier d’Arabeen, à Damas, près d’une base de l’armée syrienne, lors de combats intensifs, dimanche 3 février.

Le recours aux leurres est devenu récurrent au cours des combats urbains. Sur cette photo du 17 août 2012, on voit des combattants de l’armée syrienne libre préparant leur trompe-l’œil lors d’affrontements dans le quartier de Salaheddine, dans le centre d’Alep.

Puis le mannequin est mis en situation d’appât pour localiser les snipers de l’armée syrienne.

Lors d’une pause, ce même 17 août à Alep. Les hommes observent l’oiseau en cage découvert dans un appartement abandonné, tandis que le mannequin « monte la garde ».

Un mannequin en première ligne dans le quartier de Salah al-Dine, à Alep, le 26 août 2012.

Au cœur d’affrontements dans le vieux Alep, le 2 novembre 2012.

Une mine de mannequins dans une boutique détruite du quartier de Salaheddine, à Alep, le 5 décembre 2012.

Dans le quartier de Khan al-Wazeer, à Alep, le 16 décembre 2012.

Dans le vieux Alep, le 23 décembre 2012.
Presse postiche (Le Monde, 4 février 2013)