Vu sur le tribunal de Nantes le vendredi 25 mai
Ce matin-là, le mur immaculé du tribunal de Nantes portait bien malgré lui ces quelques mots de solidarité avec les personnes que l’État inculpe pour mauvaises intentions :
Palais de justice » DE CLASSE !
PARIS, CHAMBÉRY, LABÈGE, ETC.
À BAS L’ÉTAT, C’EST LUI LE TERRORISTE «
Une pensée aussi pour Jean-Marc Rouillan et celleux qui subissent son chantage de censure pour les forcer à taire qu’illes assument leurs actes.
Indymedia Nantes, 28 mai 2012