Trois fois ni, une fois non !
Ni Chambois, ni Argentan, ni Caen.
Que les bureaucrates, les barbouzes et les fats intellectuels et médiatiques n’espèrent pas manipuler les révolutionnaires.
Désireux de mettre des bâtons dans les roues d’un philosophe médiatique bas normand, des personnages louches ont récemment débarqué avec leurs gros sabots dans les milieux libertaires-individualistes.
L’argumentaire est aussi simpliste que les informations du type mauvaise note de lecture ou wikipédia collectées par les affreu-ses-x. Le philosophe médiatique bas-normand parle mal de Stirner, et nous comme nous sommes « connu-e-s » (mais de qui, des « services » ?) comme des libertaires individualistes ; on devrait être pas content-e-s et fâché-e-s !
Ça, ça tombe bien, même super bien ! Ces gent-e-s dont on ne connaît rien, ont justement repéré des maisons « vides » dans certaines villes (voir le titre) ; illes ont mêmes notés où sur des cartes très précises avec en cadeau bonus des notes de tous les horaires publics du philosophe bas normand (université populaire, déplacements, associations…) ainsi que sait-on jamais, différentes infos personnelles. Petite remarque, il ne manquait plus qu’une fiche pratique sur l’entartrage pour les nul-le-s ou un petit cours dans le genre.
Des fois qu’on avait mal compris le bouzin, on nous propose aussi de la fraiche (beaucoup), plus que de quoi couvrir nos faux frais.
Ceci est donc un message pour les milieux sartriens, marxistes et autres égalitaristes. Malgré des désaccords profonds avec le « gugusse philoso-truc » (prise de position sur Tarnac, Nuc etc. Méthode générale, Exposition médiatique) nous ne marchons pas dans des combines contre-révolutionnaires faisant de nous des pantins. Halte à la manipulation !
On n’est pas des militant-e-s, l’arme de la critique n’est rien sans la critique par les armes !
La subjectivité radicale peut devenir une force pratique.
Indymedia Nantes, 14 novembre 2012