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Deir Ezzor, ville assiégée et bombardée par l’armée du régime (note du JL : sur le panneau à moitié détruit, on peut lire : « Fêtes »)

À Deir Ezzor, les dégâts après les bombardements

Sur un mur à Deir Ezzor : « Nous ne quitterons pas… jusqu’à la fin de la nuit »,
tiré d’un poème de Mahmoud Darwish

Enfants dans un quartier détruit de Homs (note du JL : en bas, à gauche : « Et nous resterons là – Homs »)
Presse estivale (Mediapart, fin juillet 2012)