Ce matin le blitz pour agrandir le (non)chantier à la Clarea Susa Vallée, un nombre impressionnant de police et militaire, la volonté de frapper fort le mouvement notav, de faire mal et la conviction de continuer le monstrueuse projet du tav sont les faits que ont donnée réalité à les paroles de Manganelli, chef de la police italienne, qui a invoqué plusieurs fois le mort à la cote de la criminalisation du mouvement notav.
De ce matin avec le blitz militaire fait in Clarea Susa Vallée nous avons un exemple évident de comment la démocratie est interprété en Italie, ou sans aucun couverture juridique (hors de la loi), le chantier est en cours de élargissement.
Même après la chute de Luca et son graves conditions de santé il a été un stop fermeture par la police et du travailler du chantier. Luca est tombé après avoir escaladé un pylône électrique pour résister à l’expulsion des activistes de les terres et leur occupation militaire, il est tombé a cause de la police qui l’a chassé sur le pylône l’obligeant à monter plus haut.
Luca est en danger de la vie et la responsabilité de son santé est exclusivement de ceux qui ont ordonné et exécuté le blitz, le Gouvernement, Manganelli chef de la police et tous les policiers et militaires qui ont agi contre les gens et les activistes de la Susa vallée fin à les mettre en danger de la vie.
Après l’énorme manif du 25 fevrier, 70’000 personnes, cette est la réponse du groupe d’affaires de la tav : aveugles, sourds et destructeurs leur vrai visage.
Les rendez-vous sont généralise partout dans l’Italie
Nous opposons tous ensemble la tav
Forza Luca tout le mouvement est avec toi
Resistance ! No tav toujours et partout !
Mailing – 27 février 2012.
Blitz contre le mouvement No tav lundi 27 février
Après l’énorme manif du samedi 25 fevrier (70’000 personnes) est commence l’expulsion d’une autre zone de resistance au chantier dans la vallé de Susa.
Ce matin 27 fevrier à 8:30 gros blitz de le force de l’ordre a la baita de la Clarea, dernier rempart de la resistance No Tav. La baita Clarea est une petit maison construit par le mouvement No tav sur le terrain interessé par le tunnel de la ligne Tav. Cet terrain à èté achetez en decembre 2010 par le No Tav au but de entraver le processus de construction du tunnel.
Le blitz de ce matin avvais le but de faciliter l’enlargissement du chantier et l’arrive de machine pour lcommencer le travaux. Le nombre impressionnant de police et militaire utilisé pour l’operation montre bien la volonté de gouvernement italien de frapper fort sur le mouvement notav et de voloir continuer ce monstrueuse projet tout en ignorant la voix d’une mouvement toujours plus grand que depuis 20 ans se batte pour montre l’absurdité de ce projet.
Pandant le blitz Luca Abbà, exponent trés connu du mouvement No tav, est resté gravement blessés. Avec des autres camarades se trouvé au moment de blitz dans la zone de la baita, ce qu’été son droit autant que co-proprietaire de terraine. Pour fuir a la police est monté sur un pylon electrique, suivi par deux policier, est enfin tombé foudroyé. Se condition de santè sont grave et il y a eu de polemique sur un retard dans le secours.
La vie de Luca est en danger et la responsabilité est exclusivement de ceux qui ont ordonné et exécuté le blitz, du Gouvernement, du chef de la police Manganelli, des policier et militaire qui sont les executeures de la repression contre les gens et les activistes de la vallé de Susa.
De mobilitation de solidarité et soutien on eu lieu dans plusieurs ville italienne.
Forza Luca tout le mouvement est avec toi
Resistance ! No tav toujours et partout !
Indymedia Paris, 27 février 2012.
No Tav : Expulsion de la Clarea, un camarade gravement blessé
L’expulsion et la destruction de la Clarea (le camp de résistance au chantier) ont commencé ce matin. Luca Abbà, résistant No-Tav, est monté sur un pylône électrique pour essayer de ralentir l’opération industrialo-militaire. Un flic a tenté de le faire descendre, manœuvre totalement assassine, sans filet ni outil de protection. Luca, après avoir annoncé qu’il ne se rendrait pas, aurait grimpé un peu plus haut et a pris une forte décharge électrique, faisant une chute de plusieurs mètres. La responsabilité des forces de l’ordre est irréfutable. Flics assassins.
La vallée est bloquée, des syndicats de base ont appelé à une grève générale de 24h, un appel à bloquer tous les TGV et des rassemblements dans plus de 40 villes italiennes sont prévus aujourd’hui.
Indymedia Paris, 27 février 2012.
NO TAV : monstre manif’ au Val de Suze
Les estimations du nombre de participants sont hasardeuses (75’000 selon les organisateurs, 15’000 selon la police…), toujours est-il que c’est en masse que se sont déplacés les opposants au train à grande vitesse (TAV) censé traverser le Val de Suze pour relier l’Italie à la France, en ce samedi 25 février. Chars, banderoles, fanfares et sound systems ont égayé le cortège sur les 8 kilomètres que durait cette marche contestataire, entre les villages de Bussoleno et Susa. Un soleil de plomb et une chaleur estivale ont contribué à réchauffer les cœurs et à motiver les troupes. Les slogans et banderoles appelaient également à la libération des activistes emprisonnés. Le cortège s’est terminé à Susa où des discours ont été prononcés, et où le drapeau italien de la place de la gare a été symboliquement remplacé par un drapeau NO TAV sous les applaudissements.
Aucun flic n’a daigné montré le bout de son nez, ce n’est qu’au retour que les choses se sont corsées : un groupe d’environ 300 personnes (selon la presse bourgeoise) revenant de la manifestation s’est mis à chanter des slogans dans la gare de Turin, en allant prendre le train pour Milan. Les flics, pour des raisons obscures (les manifestants étaient même en possession de billets de train valables), ont décidé de les empêcher de prendre leur train et les ont bloqués à l’entrée du quai. Ils ont chargé et balancé des lacrymos, malgré la présence d’enfants dans la foule, ce à quoi les manifestants ont répondu par des jets de pierre. Un flic a été blessé à l’œil.
La lutte NO TAV risque de voir son degré de tension augmenter d’un cran ces prochains mois, car les expropriations vont débuter dans de nouvelles zones de la vallée. À suivre.
Le Réveil, 27 février 2012.